samedi 23 juin 2012

You're not the only one...

... Staring at the Sun. U2 par une fin de samedi après midi en bord de mer. Ce sent la mélancolie que les vagues ressassent.
La solution est sans doute la:
D'abord, c'est rouge, ce qui ne peut jamais être mauvais, ensuite, c'est plein de fruits, et donc forcément bon pour la santé. Ensuite, c'est dans un cadre magnique. Ça s'appelle la coorniche, c'est à pyla sur mer.
N'y allez pas manger c'est horriblement surfait. Mais vu le point du lieu, pour le cocktail en amoureux du samedi soir, c'est.impeccable. vue

Et en rouge, c'est THE daiquiri fraise.

mardi 19 juin 2012

Lâcher prise, en 10 façons

ATTENTION: la liste suivante n'est pas exhaustive (d'ailleurs, faites donc des propositions). En revanche, toutes les propositions sont combinables entre elles.... comme il vous siera.

1/ Choisissez une terrasse au soleil

2/ Débouchez une bouteille de Moscato d'Asti - bien fraîche - Chez Pelissero, y'en a !http://www.domainesfrancoislurton.com/product.php?id_product=103

3/ Trouvez une barquette de framboises


4/ Dénichez une plaquette de chocolat. 80% de cacaco minimum pour un traitement efficace

5/Mettez vous en nuisette et attendez votre amant

6/ Choississez une bouteille d'Amarone. Voir la maison Masi http://www.masi.it/

7/Repassez confortably numb, des Pink Floyd. Très fort.

8/Laissez vous bander les yeux

9/ Attrapez une bouteille de Miss Ladubay. C'est simple, frais, efficace.



10/ CUMULEZ!!!!

Rentrez chez vous. Piochez "Echoes" des Floyds, et mettez à fond. Enfilez une nuisette en soie. La matière est légère, les soucis s'envolent avec. Servez vous un verre de bulles et grignotez quelques framboises au soleil. Respirez. L'homme de votre vie se glisse derrière vous.... et le reste de la soirée vous appartient.




dimanche 17 juin 2012

Au soleil ...

Le soleil sur une peau. Un roman qui fait voyager. Au coin des lunettes noires, on entrevoit son sourire. Ses lèvres, peut être, vont venir effleurer la sensible raison du cou.
Le roman entraîne pourtant. Il est un fleuve que l'on veut suivre jusqu'à son estuaire, dénouer le suspens enfin! Le soleil chauffe, chauffe. Non, en fait, c'est le désir qui brûle. Le désir d'effleurer cette autre peau, ou plutôt de la dévorer. En faire un délicieux dessert dont on se délecte.
Lâcher le livre dans l'herbe, et se régaler de l'autre jusqu'à plus soif.

Profiter ensuite d'une étreinte que le soleil rend presque étouffante, et choisir un pâle rosé plein de fraises des bois pour se remettre de ses émotions. Un gris blanc (Gérard Bertrand). Un Les Fumées Blanches rosé. Quelque chose de frais, suave, et suffisamment enivrant pour... Recommencer.